Le chien-loup de Saarloos : pour qui ?

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Les avis sur le chien-loup de Saarloos

Vous vous intéressez à la race du chien-loup de Saarloos mais vous ne savez pas si cette race est faite pour vous et si votre mode de vie correspond aux besoins physiologiques de cette race ? De surcroît, vous avez lu tout et son contraire sur les réseaux sociaux et sur Internet. Au point même parfois, de vous dire que vous ne pourrez jamais avoir de Saarloos car c’est un chien d’élite, réservé aux passionnés et aux connaisseurs de la race. Aussi, vous ne savez plus quoi penser. Alors les témoignages des propriétaires de chien-loup de Saarloos vont vous aider à y voir plus clair.

Après tout, qui sont les personnes les mieux placées pour vous parler des chiens-loups de Saarloos si ce ne sont leurs propriétaires ? En effet, que pourriez-vous trouver de mieux que les témoignages des propriétaires de chien-loup de Saarloos ?

Sur cette page, aucun filtre, aucune sélection, aucune langue de bois. Comme vous pourrez le constater, les profils des adoptants sont très hétérogènes et leurs expériences variées. J’ai reçu les avis sur le chien-loup de Saarloos et je les ai publié tels quels.

Tous les avis postés sur cette page sont ceux des propriétaires de chiens-loups de Saarloos Khalibisnya Maginwulf. Elle sera mise à jour au fur et à mesure que les propriétaires m’enverront leurs témoignages.

Bonne lecture.


Je vis avec des Saarloos depuis bientôt 13 ans, et plutôt que de vous raconter mon ressenti qui est totalement subjectif, je vais vous inviter dans notre quotidien en vous parlant de nos habitudes et de notre mode de vie avec eux…
Nous avons actuellement 2 chiens-loups de Saarloos : Jojen un mâle de 8 ans et Wanda une femelle de 6 mois. Ils vivent avec nous dans la maison, sans cage, et ils partagent chaque instant de notre quotidien. Ils ont accès à toutes les pièces quand nous sommes là et ils ne détruisent pas (ils ont un large choix de jouets d’occupation et de supports de mastication pour les occuper).
Wanda mordillait vraiment beaucoup durant ses premiers mois mais cela s’est calmé une fois toutes ses dents de lait tombées. Elle est maintenant propre en journée mais la nuit elle ne peut se retenir que 6 heures maximum pour l’instant. Nous la sortons donc encore une fois très tôt le matin pour qu’elle fasse ses besoins, et souvent on se recouche après pour dormir encore un peu.
Jojen n’a jamais rien mordillé ou cassé dans la maison, il est totalement propre et la seule contrainte avec lui est de ne pas laisser de nourriture à sa portée : c’est un goinfre opportuniste et très rapide !
En semaine quand nous travaillons, ils restent souvent seuls dans le jardin (qui est bien clôturé et situé à l’arrière de la maison).
Si la météo est trop rude à l’extérieur, ils restent dans la maison dans le salon avec des barrières bébé qui bloquent l’accès aux chambres et à la cuisine. Ils sont seuls maximum 5 heures, mais la plupart du temps leurs plages de solitude sont plutôt de 2 à 3 heures. Ils n’aboient pas et ne hurlent pas, ils ne détruisent rien et en fait, la majeure partie du temps quand nous sommes absents, ils ne font que dormir (nous avons une caméra pour les surveiller dans le salon).
Chaque jour nous faisons une grande promenade (en général d’une heure) en variant les endroits.
Parfois en forêt, dans les champs, ou le long du Rhin, et parfois dans le village, des lotissements ou en zone commerciale. Nous prenons souvent la voiture avec eux : Jojen voyage sans encombre mais Wanda bave encore beaucoup durant les moyens et longs trajets.
En balade en milieu rural ils sont presque toujours libres (avec leurs traceurs GPS accrochés à leurs colliers). Ils ne fuguent pas, mais par contre nous devons être vigilants car s’ils voient du gibier ils veulent le pourchasser.
Ils se promènent aussi très souvent en liberté avec des « copains-chiens » car ils sont sociables avec leurs congénères et apprécient leur compagnie.
En milieu plus urbain, ils sont toujours attachés en longe et harnais. Jojen apprécie beaucoup ces environnements stimulants mais Wanda n’y est pas à l’aise, elle préfère souvent prendre de la distance avec les choses qui l’effrayent (d’où l’utilité de la longe de 5 mètres) pour observer longtemps, comprendre ce qu’elle voit et s’assurer qu’il n’y a pas de danger, et une fois qu’elle est un peu rassurée elle avance prudemment.
Wanda fonctionne de la même façon avec les gens : elle préfère les éviter et les observer de loin pendant longtemps. Elle n’accorde sa confiance qu’après un certain temps passé avec les personnes, sans que ces personnes n’aient été insistantes ou intrusives avec elle (alors elle s’approche d’elle-même pour prendre des friandises).
Elle ne cherche pas le contact avec les gens et elle n’est pas câline avec eux (mais avec mon conjoint et moi-même elle est la chienne la plus câline que j’ai eu).
Avec Wanda nous nous montrons patients : elle n’a que 6 mois, elle a encore toute la vie pour apprendre. Et nous constatons avec plaisir qu’en extérieur et avec les gens elle progresse de façon lente mais stable.
Par contre elle se laisse sans problème manipuler par la vétérinaire ou l’ostéopathe, que ce soit à domicile ou en clinique.
Jojen au contraire est très sociable et il est à la limite du harcèlement avec les humains parce qu’il a compris depuis longtemps que les gens pouvaient lui donner des friandises…
Avec nous, ils sont tous les deux totalement à l’aise, obéissent assez bien à nos demandes et ils sont très affectueux.
Jojen a travaillé avec moi pendant plusieurs années : il participait à mes formations à la prévention du risque canin pour les postiers, et il était aussi mon fidèle assistant pendant des séances d’éducation canine. Mais maintenant c’est un jeune retraité!
J’emmène de temps à autres Wanda avec moi en clientèle quand je travaille avec des chiens sociables et joueurs.
Nous sommes déjà partis en vacances avec nos chiens, et nous sommes doucement en train d’habituer Wanda aux voyages : longs trajets en voiture, chambres d’hôtel (dans laquelle ils savent déjà rester seuls quelques heures), endroits nouveaux, et bientôt ascenseur, terrasses de restaurants et plage pour les prochaines vacances !
Avec Jojen nous pratiquons du mantrailing (il adore, même si son niveau est très loin d’être aussi bon que des chiens d’autres races). Prochainement nous allons tester cette activité avec Wanda, elle qui aime tant pister le gibier truffe au sol…
Nous fréquentons un centre d’éducation canine gérée par une collègue comportementaliste qui travaille uniquement en méthodes positives.
Les lâchers de chiens, séances d’éducation ludique et promenades collectives correspondent bien aux besoins de nos Saarloos et ils apprécient d’y retrouver leurs congénères dans la bonne humeur et sans stress.
Personnellement, je travaille à temps plein depuis des années avec des chiens de toutes races et profils comportementaux. Et honnêtement je trouve mes Saarloos très faciles à vivre comparés aux autres races de chiens : ils n’ont pas de besoins d’activités spécifiques liés à leur race, ils apprécient les promenades autant que ne rien faire à la maison, ils n’aboient pas, ils ne sont pas agressifs envers les humains, ils sont calmes et agréables à la maison mais ils sont actifs en extérieur, ils sont globalement sociables avec leurs congénères et je les trouve vraiment très drôles et attachants au quotidien.
Le seul fait vraiment notable et qui surprend beaucoup les gens habitués aux chiens plus avenants, c’est que certains de mes Saarloos (Dyna, Forever et Wanda par exemple) ne cherchent pas le contact avec les gens, et ils peuvent même l’éviter de façon assez spectaculaire. Il leur faut du temps et de la douceur pour s’habituer aux personnes, et souvent ils ne sont proches que de nos proches ^^
Et d’autres sont sociables comme de vrais labradors (Mystic et Jojen) et partiraient avec n’importe quel bipède qui a une bonne friandise !
En écrivant ces lignes je regarde mes chiens : Wanda dort sur le canapé, bercée par la chaleur du poêle à bois, et Jojen fait sa sieste sur le lit à l’étage. Et je me dis qu’il faut que je réserve la chambre d’hôtel pour notre prochain weekend dans le Haut-Rhin, et que j’organise notre petit séjour à la mer en mai. Je me demande aussi avec quels copains chiens je vais les balader cette semaine, et dans quelle animalerie les emmener pour leur acheter des cornes de mouton…
Et pendant ce temps là, eux, ils ronflent ! Quelle belle vie !

L’arrivée des Saarloos a changé beaucoup de chose dans ma vie.
Enfin, j’ai toujours une clôture d’1m50, je bosse toujours en 12h et j’ai toujours mon chat, mais avant, avec ma Golden, je pensais que le chien devait s’adapter à l’homme. Et j’ai compris maintenant que c’est à nous de nous adapter au chien.
Avec un Golden ( ou le plupart des chiens) si vous voulez passer à coté de quelque chose qui lui fait peur, vous n’allez malheureusement pas forcément vous en rendre compte et vous allez avancer, et le chien va devoir s’adapter.
Avec le Saarloos , il va vite vous faire comprendre qu’il ne passera pas par là et vous allez devoir vous adapter, vous n’aurez pas le choix.
Avec le Saarloos, vous allez :

– Apprendre à le comprendre
– Apprendre à vous adapter
– Apprendre à anticiper
– Apprendre à ne pas avoir d’attente
– Apprendre à apprécier les petits progrès
– Apprendre à vous remettre en question
– Apprendre à ne pas comparer les chiens
– Et apprendre à oublier vos convictions

Et si vous êtes prêt pour tout ça, une aventure extraordinaire vous attends.
Moi j’ai signé 3 fois, et il me tarde de pouvoir recommencer

 

Nous vivons dans une maison avec un grand jardin mais qui n’était pas clôturé assez haut (il est vraiment SUPER IMPORTANT d’avoir une clôture d’au moins 2m).
Nous avions la chance d’avoir mon compagnon qui était toujours à la maison donc elle était rarement seule.
Les débuts ont été assez difficile quand même, elle faisait souvent ses besoins à l’intérieur, même parfois juste sous notre nez. Elle mangeait tout ce qu’elle trouvait et devant nous.
Maintenant elle est un peu plus calme et ne fait plus ses besoins à l’intérieur, mais il a fallu un an et demi.
Au niveau de la socialisation ça c’est toujours très bien passé, un peu craintive des hommes mais elle y va à son rythme et ça se passe bien.
Notre quotidien n’a pas changé depuis qu’elle est arrivée à la maison.
C’est une chienne qui déborde d’amour et qui demande tout le temps des câlins, c’est Madame pot de colle.
Je ne dirai pas que je déconseille cette race car elle est incroyable vraiment !
Elle est très intelligente et vraiment très câline (parfois on pourrait presque se demander si ce n’est pas un humain) mais ce n’est pas une race à prendre sur un coup de tête ou seulement parce que c’est beau.
Il faut VRAIMENT S’INVESTIR avec cette race, c’est un travail de tous les jours même encore maintenant qu’elle a un peu plus de 2 ans.
Parfois on s’est demandé si on n’avait pas fait une erreur de prendre cette race tellement elle nous en a fait baver parfois. Elle a un sacré caractère (et c’est d’ailleurs pour cette raison que nous l’avons choisit avec l’éleveur car nous avions également besoin de canaliser notre husky) et c’est parfois compliqué.
Mais on ne regrette pas, elle nous a appris beaucoup de chose, elle nous donne tellement en retour qu’on ne peut pas lui en vouloir de faire des bêtises, mais il faut savoir que ce n’est pas un chien « lambda » et que son éducation n’est pas la même qu’avec d’autres races de chiens.

Our first Saarloos joined us 3 years ago and straightaway we realised she was not a “normal” dog.
She was very nervous at the beginning and it took a while to get used to me and my partner. When other people came to visit she was very shy and wouldn’t go near them. She would stay upstairs until they had left. She was very naughty like a puppy for about a year and then became a wonderful companion – loving cuddles and sleeping in bed with us. However she would follow me everywhere and I couldn’t leave the room without her behind me.
When we got our second Zeus he was very different and was very friendly but over time became more nervous around other dogs.
Getting a second dog helped Luna to be apart from me more and soon settled into having a dog companion.
They are brilliant dogs. Ours don’t fetch like normal dogs and sometimes if they have their focus on something else will not listen to commands.
However the love and cuddles you get makes up for it. Getting a second Saarloos helped us a lot as they are pack animals.
I would honestly never pick another dog breed again as I love the Saarloos and their quirks make them all the more enjoyable.

Traduction Française

Notre première Saarloos, Luna, nous a rejoint il y a 3 ans et on s’est tout de suite rendu compte que ce n’était pas un chien “normal”.
Elle était très nerveuse au début et il lui a fallu du temps pour s’habituer à moi et à mon compagnon. Lorsque d’autres personnes venaient lui rendre visite, elle était très timide et ne voulait pas s’approcher d’eux. Elle restait à l’étage jusqu’à ce qu’ils soient partis.
Elle a été très coquine comme un chiot pendant environ un an, puis est devenue une merveilleuse compagne, adorant les câlins et dormant sur notre lit avec nous. Cependant, elle me suivait partout et je ne pouvais pas quitter la pièce sans elle derrière moi.
Lorsque nous avons eu notre deuxième Saarloos, Zeus, il était très différent et très amical, mais avec le temps, il est devenu plus nerveux avec les autres chiens.
Avoir un deuxième chien a canalisé Luna, prendre plus d’indépendance vis à vis de moi et devenir plus rapidement un chien de compagnie.
Ce sont des chiens brillants. Les nôtres ne vont pas chercher le contact comme les autres chiens et parfois, s’ils sont concentrés sur quelque chose, ils n’écoutent pas toujours les ordres et disposent de leur propre volonté. Cependant, l’amour et les câlins que vous obtenez compensent amplement tout çà.
Obtenir un deuxième Saarloos nous a beaucoup aidés car ce sont des chiens de meute.
Honnêtement, je ne choisirais plus jamais une autre race de chien car j’adore les Saarloos et leurs bizarreries les rendent d’autant plus attachants.

Habitant un petit pavillon dans une ville dense, avec un jardin, nous avons adopté Meilyr, mâle Saarloos lorsqu’il avait 3 mois, ainsi qu’une femelle Groenendael au même moment, qui a seulement 1 mois de plus.
Ayant toujours vécu avec des chiens, nous souhaitions en avoir deux, et les voir grandir ensemble. C’est notre premier Saarloos.
Il va sans dire que la vie et l’organisation à la maison s’en trouvent fortement changés, puisqu’ils deviennent le centre de notre attention, et que les apprentissages au début coûtent du sommeil et de l’argent (on échappe jamais à quelques chaussures détruites, et quelques vêtements abîmés).
Pour témoigner au sujet de notre Saarloos en particulier, et pour prévenir les personnes habitués aux chiens, ce n’est pas le même rythme. Il lui faut du temps d’observation, que ce soit en balade, ou même à la maison, avant qu’il ne prenne une décision.
Cela a ses avantages et ses inconvénients.
Commençons par les inconvénients : lorsque vous recevez des invités, il va s’en éloigner et, en balade, surtout en ville, il peut-être très effrayé par la variété des stimulis. Il peut alors faire un écart brusque sans penser au danger de la route. Il faut être très vigilant lors de ces moments. C’est le même principe pour le dressage, il va prendre son temps, et n’est pas plus intéressé que cela pour répondre aux ordres, et se moquera de la balle que vous lui lancez.
Cependant, ce comportement particulier a aussi de nombreux avantages.
Lorsque nous le détachons en parc ou en forêt, il nous suit, qu’importe ce que l’on croise, et il ne s’éloigne pas. Il est par ailleurs sociable avec ses congénères, très gentil. Au quotidien, il est très affectueux envers ses maîtres. Il aime le calme, les caresses sur le canapé et il réclame ses moments d’affection, sans être pot de colle dans la maison. D’ailleurs il préfère de très loin les caresses aux jeux. Ce n’est pas non plus un chien qui aboie.
En terme de dépense physique, il n’a pas besoin d’une grande activité. Encore aujourd’hui, il a fallu insister pour lui faire quitter le canapé et le faire sortir. Cela contraste avec la Groenendael qui est très énergique, et qui a besoin de se dépenser beaucoup plus.
Cela ne fait que quelques mois, et c’est notre premier Saarloos, mais si je devais recommander ce chien, je le recommanderais à des gens calmes, patients, qui n’attendent pas de leur chien que ce soit une boule d’énergie, et qui aiment prendre leur temps.
Si vous voulez un chien gentil, calme, qui peut vous suivre sur de longues balades tout en appréciant rester à vos côtés sur le canapé, c’est donc selon nous un chien idéal. Si je devais ajouter deux conseils qui nous ont beaucoup aidés :

1 : faites venir beaucoup de monde chez vous, régulièrement, et dès tout petit, afin qu’il s’habitue aux invités. Il ne les accueillera toujours pas avec enthousiasme mais il les tolèrera sans soucis, voire acceptera quelques caresses.
2 : habituez le à sortir en voiture, plusieurs fois par semaine, pour l’amener dans des endroits agréables (chez des amis avec des chiens, dans des parcs…). Le nôtre a été très malade lors des premiers trajets, puis très vite, ne s’est mis qu’à baver fortement. Aujourd’hui, il ne bave plus et n’a aucun souci en voiture.

Nous sommes une famille avec 2 enfants de 8 et 11 ans. Nous vivons en région parisienne, dans une maison et disposons d’un grand terrain. Nous avons également un accès direct vers la forêt. Avant l’adoption de Rhapsody, nous avions déjà un chien de taille moyenne, Titou. Nous avions également eu une expérience avec un chien-loup. Nous avons apprécié pouvoir rendre visite régulièrement à Rhapsody avant son arrivée à la maison, ainsi que les conseils prodigués par David pour nous aider dans notre choix.

L’arrivée de Rhapsody a été précipitée par un confinement. Notre chien l’a bien accueillie, jouant délicatement avec elle. Nous avons été agréablement surpris par le fait que Rhapsody soit déjà bien familiarisée avec les bruits de la maison (machine à laver, lave-vaisselle, etc.). Nous avions peu de disponibilités à ce moment-là, du fait de nos contraintes salariales ; je partais promener mes chiens vers 5h30 le matin les jours où nous étions absents de 8h à 18h (2 à 3 fois par semaine). Nous sommes désormais beaucoup plus présents et privilégions les sorties en forêt le weekend.

Rhapsody dispose d’excellents codes canins. Nous rencontrons régulièrement d’autres chiens avec lesquels elle joue beaucoup, tout en respectant ceux qui sont plus calmes et qui ne seraient pas nécessairement à l’aise avec l’agitation. Ces différentes rencontres lui ont permis de s’affirmer car elle était auparavant trop gentille avec ses congénères. Elle est très mignonne, douce, câline et calme. La parole ne lui aurait été d’aucune utilité tant elle excelle en communication.

L’adoption d’un animal est un acte qui doit être réfléchi. Rhapsody préfère le contact canin qu’humain, hormis de la part des membres de notre famille. Lorsque nous avons des invités, elle est un peu embarrassée ; d’un côté, elle aimerait bien venir sentir leur odeur et d’un autre côté, elle est sur la réserve. Sa curiosité l’aide à surmonter sa peur. Nos emplois du temps respectifs à son arrivée ne nous ont pas permis de la sociabiliser autant que nous l’aurions souhaité, ni de la promener davantage dans un environnement urbain.

Notre expérience des chien-loups de Saarloos nous montre que ce sont des chiens aimant le contact avec leurs congénères et qu’ils ont tendance à copier dans certaines situations. Ils sont calmes et peu exigeants. Ils sont très affectueux et apprécient que les choses soient faites en douceur (la patience est importante). J’aimerais toutefois attirer votre attention sur la nécessité de leur faire découvrir un maximum de choses et d’environnements différents dès le plus jeune âge pour les aider à être moins craintifs. Rhapsody adore être dehors et profiter de la nature, tout autant que ses siestes bien au chaud sur le canapé.

Je suis enchantée de cette adoption et j’espère que mon témoignage vous sera utile.

 

Lorsque j’ai adopté Zelda, j’habitais dans un appartement, sans jardin. En arrivant, elle a rencontré Iorek, Berger Blanc Suisse de 6 ans, qui était mon premier chien. Zelda étant donc mon premier chien-loup de Saarloos. Les deux se sont immédiatement adorés.
Notre environnement a été compliqué pour elle en arrivant ; l’appartement est situé au dessus d’un restaurant en plein centre du village, donc l’extérieur était toujours très animé du matin au soir.
A cause de l’agitation ambiante extérieure qui l’inquiétait, il a fallu pendant plusieurs mois la forcer à sortir pour aller en balade ou autre, ce qui a notamment rendu l’apprentissage de la propreté très long (elle est devenue totalement propre vers 1 an seulement).
M’étant renseignée sur la race, je m’attendais à la réserve des Saarloos vis à vis des humains mais honnêtement, au début, j’étais souvent désemparée devant ses réactions de peur face aux inconnus et je ne savais pas toujours comment réagir pour l’aider ; je n’avais jamais vécu ça avec mon premier chien qui n’a peur de rien.
J’ai appris au fur et à mesure à m’adapter à chaque situation pour qu’elle soit à l’aise et petit à petit c’est devenu de plus en plus facile pour elle d’évoluer dans différents milieux.
Le plus gros changement auquel j’ai dû faire face, c’est que j’ai toujours eu pour habitude d’emmener Iorek partout où je pouvais (en soirée, aux fêtes de famille, en ville etc), mais pour Zelda, j’ai dû revoir cette habitude et renoncer à l’emmener à certains événements, surtout au début, car je savais qu’elle n’en tirerai aucun plaisir et y serai juste mal à l’aise.Je pense qu’en adoptant un Saarloos, il faut être prêt à vivre quelques fois de grands moments de solitude avec son chien, car le Chien-Loup de Saarloos n’est pas le chien le plus courageux du monde et on doit l’être pour deux (ça signifie devoir parfois nettoyer les déjections de son chien qui a fait un caca de stress dans un lieu inapproprié, ou encore avoir du mal à entrer quelque part car ce même chien refuse catégoriquement d’y entrer, par exemple).
Et ce qui est sûr, c’est qu’on peut difficilement forcer un Saarloos à faire ce qu’il n’a pas envie de faire ! C’est un chien intelligent qui aime agir de sa propre volonté… Son éducation nécessite beaucoup de patience !
Pour moi, le Chien-Loup de Saarloos demande quelques adaptations, surtout la première année de sa vie, de la remise en question, énormément de patience, mais avec de la persévérance, ce n’est rien d’insurmontable. Parce qu’à côté de tout ça, c’est un chien spécial et passionnant si on prend le temps de l’écouter.
Il y a sinon plein de choses pour lesquelles je n’ai jamais eu de difficultés avec ma Saarloos par exemple :
Zelda n’a jamais été destructrice, elle peut rester seule avec ou sans Iorek mon autre chien sans soucis, Zelda vit avec des chats et des lapins (toujours sous surveillance quand même), elle côtoie des chevaux, et d’autres animaux sans problème.
C’est la chienne la plus câline et pot de colle du monde avec sa famille et amis proches. Et elle s’entend avec absolument tous les chiens qu’elle rencontre.
A l’heure actuelle, alors âgée de 2 ans et demi, elle peut m’accompagner presque partout ; les centres villes restent encore difficile, elle n’y sera pas spécialement a l’aise, mais elle le fait s’il le faut. Même si elle n’est jamais aussi heureuse que lorsque nous allons nous balader en pleine nature !
Est-ce que je reprendrais un Chien-Loup de Saarloos ? Oui, sans hésitation je pourrais revenir sur cette race, parce que même si elle présente des aspects compliqués (principalement autour de la socia humain), les Chiens-Loups de Saarloos sont des chiens avec qui on peut nouer une relation exceptionnelle et ils sont agréables à vivre au quotidien.

 

Ma vie avec des Saarloos.
Lorsque j’ai découvert cette race, il y a une dizaine d années, je me suis dit que jamais je ne pourrais avoir un chien-loup de Saarloos tellement il était décrit comme particulier, limite ce n’était pas un chien!

Puis quelques années après, je m’y suis à nouveau intéressée. Toujours les mêmes mises en garde : clôture de plus de 2m, chenil pour les absences, chien qui s adapte peu aux nouveautés….

J’ai rencontré des propriétaires de chiens-loups de Saarloos afin de les voir dans leur environnement et échanger sur leur vie quotidienne. Puis j’ai eu un coup de cœur pour cet élevage familial. 6 ans après cette adoption de cette petite Saarloos, aucun regrets !

A ce moment-là, nous avions 2 chiennes (un Carlin et un Bull Terrier), une maison avec clôture d’1m80 et un chenil. J’ai découvert peu à peu le chien-loup de Saarloos : sa précaution à la découverte de nouveaux environnements, sa réserve des inconnus.

Grâce à elle, je suis tombée amoureuse de cette race, si exceptionnelle. Nos chiennes ne faisaient pas le poids dans les interactions. Il y a donc eu l évidence d’adopter une 2ème Saarloos pour son équilibre. Un coup de cœur pour une Saarloos de refuge du même âge. Elles se sont trouvées et l’équilibre parfait est là.
Ces chiens-loups de Saarloos, si particuliers, oui. Par leur fusion avec leur maître, malgré leur réserve qui peut être présente, elles me suivraient au bout du monde.
Suite à une séparation, changement de vie il y a 1 an ; elles se sont très bien adaptées.

J’ai fait le choix de travailler en décalé afin de pouvoir partager un maximum de temps avec elles. La clôture de mon extérieur fait 1m50 max, elles ne sont jamais parties, pas de chenil. Elles m’attendent patiemment lors de mes absences. Elles partagent toutes mes vacances (hôtels, campings, chambres d hôtes, de nouveaux amis), camping car, restaurants, randos( pas de fugue, un très bon rappel), repas chez des amis. Alors bien sûr tout ceci est dû au travail de l’éleveur et tout ce qui a été fait jusqu’à ce jour.

La seule chose qui a changé pour moi, je ne peux pas partir en vacances sans elles… Je n’ai jamais travaillé en ce sens, mais des vacances sans elles, n’auraient pas le même attrait!
Oui, ils sont plus sensibles et il faut avoir une attention particulière à leurs émotions, mais je dirais comme tous chiens. Sauf que chez le Saarloos, tout ceci est plus prononcés ou visible. Et avoir un compagnon canin capable d’encaisser les jeux.
Saarloos un jour, Saarloos toujours !

Hely et Sanka, mes 2 amours 🥰

Un chien-loup de Saarloos modifie entièrement votre vie de tous les jours.
J’ai la chance de travailler chez moi car elles n’aiment pas être seules sinon tant pis pour vos chaises, canapés et tapis…
Les débuts sont compliqués, il faut au moins 3 mois pour qu’elles se sentent en sécurité avec nous.
J’ai un fils de 18ans et c’est seulement au bout d’un an, qu’elle commence à l’accepter.
Pour les petits enfants, c’est une autre histoire, Hely (10ans) les tolère mais il faut faire attention et Sanka, elle ne veut aucun contact. Elle va au fond de la cour et je la revoit seulement le soir.
Pour les vacances, c’est un souci aussi si vous n’avez personne pour les garder mais maintenant qu elles acceptent mon fils, c’est plus facile.
Ce sont des chiens qui ne vivent que pour vous !
Vous êtes constamment en connexion, on peut vraiment parler d’amour fusionnel.
Juste un regard et vous vous comprenez.
J’habite avec chats, moutons, ânes et tout le monde s’entend, avec un espace dédié.
Ce sont des chiens qui impressionnent derrière la clôture et sont très obéissants, un peu têtu mais ça ne dure pas très longtemps.
Ce sont de vrais pots de colle, elles vous suivent partout dans la maison et demandent constamment des caresses.
Et ne pas oublier les belles balades en forêts !
Le conseil que je peux donner à un nouvel acquéreur, c’est de réfléchir au temps disponible qu’il pourra lui donner car ça demande beaucoup d’attention et les journées se font autour d’eux.

 

Socrate à 2,5 ans, c’est un magnifique chien de famille. Il aime les enfants, les chiens, pas de soucis. J’avais des chèvres avant et ne rencontrait aucun soucis pour les garder avec lui, mais si je laisse Socrate seul avec le troupeau, il va mordre les chèvres ou les chevreaux. L’instinct de prédation a mis 2 ans à ressurgir et j’ai eu des pertes chez mes chèvres…
Socrate adore notre double-poney, ils s’entendent très bien. Pour mon chat, ça va à la maison mais attention si le chat sort ; la predation ressort au galop !
Nous vivons à la montagne, isolés et sans clôture. Son jardin c’est la Montagne. Il est collé à nous mais il a un GPS car il peut faire de très grandes excursions seul en montagne. Cependant, il revient toujours et je l’appelle avec l’aide de son GPS. Il a une réserve devant les gens de 5 mn seulement, le temps d’observer et après il est pot de colle avec tout le monde ! Randonneurs compris !
Je travaille chez moi dans ma ferme de montagne et il a besoin d’être avec moi. Si je travaille à l’extérieur seule et lui reste à l’intérieur, c’est compliqué pour lui. Seul il est trop triste.
Je déménage en Mai et je quitte mon activité et mes montagnes pour une maison clôturée mais je travaillerais chez moi donc Socrate sera heureux et va s’adapter à son nouvel environnement à mes côtés.
Les chiens-loups de Saarloos sont extraordinaires mais il leur faut un maître présent. Pour Socrate, je suis son référent. Je l’adore et lui aussi.

 

Je ne connaissais pas les chiens-loups de Saarloos mais le physique me plaisait beaucoup.
J’ai décidé de me renseigner sur la race via Facebook où j’ai pu lire tout et son contraire.
J’ai eu la chance de rencontrer Sabine Weber qui m’a permis d’aller chez elle pour voir les siens vivrent dans leur environnement.
J’ai pu me rendre compte de certaines de leurs particularités.
J’ai connu par hasard l’élevage familial de David et j’ai décidé de venir le rencontrer et échanger avec lui pour qu’il puisse me dire si j’avais le profil pour adopter ma louloute.
Le feeling est passé et je me suis investie dans l’aventure Saarloos
Au moment où Blum est entrée dans ma vie, on avait déjà deux chiens à la maison et on vivait en maison mitoyenne avec un tout petit terrain, ce qui nous a permis de faire beaucoup de sorties en extérieur dont elle avait besoin et ce qui a permis de lui inculquer un suivi naturel et une intégration dans notre meute.
Anna ma compagne ne travaillait pas, ce qui lui a permis de grandir entourée de présence quasi constante.
La notion environnementale n’est en aucun cas un problème si on assouvit ses besoins en extérieur.
Blum nous paraissant épanouie dans notre vie où on avait réussi à créer un lien de confiance mutuelle mais chaque fois que nous venions voir David, elle était enjouée de revoir ses congénères et c’est à ce moment là que l’on s’est dit que mon Carlin et notre Bull Terrier ne lui suffisait pas pour s’épanouir.
L’adoption de Nymeria, chien-loup de Saarloos l’a comblé et si je devais donner un conseil, j’insisterais sur le fait qu’ils sont vraiment heureux à deux.
Le changement dans mon quotidien n’a été que bénéfique, elle m’a apporté une tonne d’amour, une envie de sortir, de partager des moments magiques jamais connu avec d’autres races. La fusion qui se crée est magnifique quand le lien de confiance est créé.
Avec de la patience et toujours cette confiance, Blum et Nymeria ont visité beaucoup d’endroits en France sans difficultés particulières.
Quand je me suis séparée j’ai eu peur de les perturber et malgré tout elles se sont très vite adaptées.
Je pense qu’il faut sortir du mythe du loup !
C’est une race que je reprendrai sans hésitation et qui peut convenir à toutes personnes prêtes à s’investir dans l’adoption d’un chien en toute conscience des contraintes que celà implique.
Voilà un petit retour rapide, en résumé je pense que toute personne respectueuse du chien peut adopter un Saarloos puisque la priorité sera d’assouvir les besoins du chien, l’environnement n’est pas un problème non plus et je répète qu’il faut démystifier les Saarloos pour leur équilibre.
Merci encore milles fois de m’avoir fait confiance.

Quand nous avons décidé d’adopter Missandei, nous possédions déjà un autre chien-loup (croisé Berger Suisse) d’un an mais qui “pleurait” beaucoup et avait tendance à faire des bêtises !
Quand nous sommes tombés sur l’annonce, on s’est dit que c’était une évidence et qu’il fallait un compagnon à Mahikan.
Nous habitons en maison, avec un jardin (bien clos ! impératif !). Nous avons enfants et les chiens vivent avec nous, les enfants leur font de la place. Ce sont des chiens qui demandent beaucoup d’attention et qui n’aiment pas être seuls. Nous en avons fait l’expérience avec Missandei… Elle avait 4-5 mois quand nous l’avions laissé une seule fois dans la maison toute seule pour des besoins personnels. Le mâle était dehors pour “surveiller” la maison ; quand nous sommes rentrés, nous avons découvert le désastre ; elle avait défoncé la poubelle, il y en avait partout, elle avait mangé le cartable de mon fils sans toucher aux cahiers, LoL, elle est montée à l’étage, a pissé sur notre lit et sur le lit de ma fille, elle a fait sa crotte dans la chambre de ma fille et à manger quelques doudous… Voilà voilà…
Mis à part çà, ce sont des chiens adorables ; les nôtres raffolent des câlins. Pour vous dire, jusqu’à 6-7 mois, Ookami montait sur mes genoux pour faire des câlins. Ce sont des chiens qui ont un très fort caractère, donc je dirai qu’il faut un maître qui a un caractère aussi fort mais dans un gant de velours. Ce ne sont pas des caniches donc ce ne sont pas des chiens d’appartement, il leur faut de l’espace pour qu’ils puissent se dépenser ( enfin ce n’est que mon avis). Ce sont des chiens qui donnent beaucoup d’amour quand c’est réciproque.
On ne regrette absolument pas notre choix et si c’était à refaire, on le referai. Quand on se dit qu’ils ont déjà 7 et 6 ans, on se rend compte que le temps passe beaucoup trop vite.
Je recommande cette race peu connue. Ca peut faire peur de se dire qu’ils ressemblent à des loups mais ils ont certainement plus peur que nous. David nous a appris à sociabiliser Ookami qui était très craintive et maintenant elle s’approche plus facilement des gens.

Bref, j’adore ma fille !

J’ai adoptée Nym en dernière année d’école vétérinaire près de Paris, alors que je vivais dans un 19m2 au dernier étage de la résidence universitaire de Maisons-Alfort avec ma première chienne Ohana (une croisée Berger Australien x Bouvier x Saint-Bernard) qui avait 3 ans à l’époque.
Les premiers jours, Nym était très peureuse des humains mais a tout de suite pris exemple sur Ohana ce qui lui a permis d’apprendre rapidement la propreté, le rappel et la marche en laisse et en libre.
Elle est ensuite devenue une machine à câlins !
Parfois je travaillais 10h de suite et des amies venaient les sortir. Elle suivait grâce à Ohana et s’est vite habituée.
Au début très malade en voiture, elle peut faire aujourd’hui 8h de route en dormant. C’est une chienne qui progresse très vite et s’adapte à toutes les situations tant qu’on lui laisse le temps et que les stimuli ne sont pas trop nombreux à la fois, notamment auditifs.
Elle a un très bon rappel et peut se poser dans n’importe quel endroit si les gens l’ignorent. Elle va même les voir en libre quand ils ont un chien ou s’ils marchent sans la regarder.
Je ne pensais pas qu’elle progresserait si vite et elle continue à le faire. Le fait d’avoir une seconde chienne tout terrain l’aide beaucoup je pense.

Mon prochain chien sera sûrement une autre Saarloos

D’après notre petite expérience (2 saarloos l’un de 2006 à 2020 et l’autre de 2022 à maintenant), pour adopter un chien-loup de Saarloos et que ça se passe bien, il faut vouloir lui consacrer du temps. Lors de notre 1er chien-loup de Saarloos, c’était très compliqué qu’un éleveur accepte de nous le vendre car nous vivions en appartement avec un seul chat. Pour nous, vous n’êtes pas obligés d’avoir une maison avec du terrain, d’avoir d’autres chiens pour lui tenir compagnie. Quand j’ai adopté ma première Saarloos, je vivais en appartement et j’étais étudiante mais ce n’était pas un souci : je vivais sur le campus de l’école là où se trouvaient également mes cours. Donc à chaque pause (toutes les 2h), je pouvais sortir ma chienne avec plein d’autres copains chiens qui vivaient sur le campus. Elle semblait bien plus heureuse que certains chiens qui vivent en maison avec jardin et qui n’en sortent pas !

Avec Circé notre 2ème Saarloos, nous vivons en maison avec jardin et il est indispensable que j’aille en club canin afin qu’elle se dépense et rencontre plein de chiens différents à chaque fois. Elle va à la garderie tous les mardis et au cours de socialisation et éducation un samedi sur deux. Nous avons la chance de pouvoir l’emmener au travail et qu’elle ne se retrouve pas seule à la maison. Je pense que les critères déterminants seraient : pouvoir emmener son chien au travail, l’emmener régulièrement en club canin, avoir régulièrement des chiens en garde à la maison ou avoir un deuxième chien.

Par contre, ce n’est pas un chien câlin avec tout le monde dès le début. Mais il est très proche de ses maîtres et très fusionnel. Vivre avec les enfants ne pose aucun souci ; les poules par contre c’est un peu plus compliqué !

Je recommande cette race, nous en sommes tombés amoureux, mais seulement à des personnes qui ont déjà eu des chiens et qui auront du temps et de l’amour à lui consacrer.


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